L'histoire de
RAEVEL
Pourquoi Raevel ?
RaeVel Création© est une toute jeune entreprise artisanale créée fin 2013. Derrière ce nom, il y a la créatrice, Corinne Halliez qui, après de nombreuses années de travail en entreprise, a réalisé son rêve en devenant bijoutière. Une passion qui venait peut-être d’un grand père, Maurice Raevel, qui était ouvrier à la cheville à Lille.
RaeVel Création© est aussi la marque déposée pour l’ensemble des collections créées par Corinne Halliez. Ses premières sources d’inspiration sont très graphiques et trouvent leur ancrage dans la science et l’architecture. Tout est matière à imaginer de nouvelles pièces en associant le métal à d’autres matériaux tels que le bois par exemple.
Histoire ...
En 2010, l’attrait de la création est le plus fort
Je suis issue d’une formation scientifique et, ayant acquis mon diplôme d’ingénieur des industries agro-alimentaires, j’ai exercé mon métier en entreprise pendant 24 ans. Pendant toutes ces années le besoin de créer pour me réaliser ne me quitte pas : dessin, encadrement, couture… et parmi ces activités, une passion récurrente : les bijoux.
En 2010, l’attrait de la création est le plus fort. Je décide de donner libre cours à mes envies artistiques et retourne sur les bancs de l’école. Pour ma formation professionnelle, je choisis l’Afedap à Paris en raison de l’approche contemporaine de la bijouterie qu’on y dispense. Je me forme pendant deux ans aux techniques de travail des métaux et complète mes connaissances en histoire de l’art et gemmologie. Je reçois le diplôme de l’ Afedap grâce à mon projet Architectonique. C’est également au cours de ces deux années que le premier dessin qui donnera naissance à ma future collection Candy est élaboré. Je perfectionne ensuite mon apprentissage pendant un an dans l’atelier d’un joaillier contemporain à Paris. Je décide fin 2013 de lancer mon activité de création, fabrication et vente et de créer alors ma propre entreprise.
A la source de mon inspiration,
« … il y a mon histoire personnelle où, dans un premier temps, je m’impose d’exercer sans envie un métier d’ingénieur qui bride une créativité qui bouillonne. Et puis un jour, je me libère moi-même de cette contrainte pour laisser pleinement s’exprimer ma vocation artistique.
Ainsi, d’abord forgée par le productivisme de l’industrie puis laissant libre cours à la liberté de la création, mes bijoux reflètent cet « alliage des contraires » : matériel et spirituel, industriel et artisanal, scientifique et ésotérique, rationnel et anarchique, contraint et libre. »